Titre : |
Maigrir sans carences : Dérèglements glandulaires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Raymond Dextreit, Auteur |
Editeur : |
Paris [France] : Revue "Vivre en harmonie" |
Année de publication : |
1988 |
Importance : |
105 p. |
Format : |
15.5 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
2-7155-022X |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
Catégories : |
Promotion de la santé:Hygiène
|
Mots-clés : |
surpoids - amaigrissement - obèse - carences - dérèglement glandulaires - |
Index. décimale : |
123.4 Jeûnes, cures et régimes |
Résumé : |
Constatant que presque la moitié des Américains et le tiers des Français sont considérés comme étant d'un poids excédent sensiblement ce qui est à la normale, on peut s'étonner que ce que toutes méthode susceptible de provoquer l'amaigrissement connaisse de tels succès. Pourtant, il a été assez souvent répété que dans les camps de concentration il n'y avait pas d'obèses et qu'il suffirait de réduire les quantités de nourriture pour perdre du poids. Seulement, voilé, l'alimentation étant généralement mal conçue, il faut dépasser les quantités normales pour ne pas présenter de carences. Lesquelles carences, d'ailleurs, peuvent également survenir en raison des perturbations engendrées par le surcroît de produits ingérés. L'époque n'est plus où l'on disait que mieux vaut faire envie que pitié pour autant qu'il est maintenant admis c'est tout de même et déjà une évolution heureuse que l'excédent de poids entraine divers désagréments pas seulement d'ordre esthétique, mais bien plus sérieux, ceci pouvant déboucher sur l'infarctus, le diabète et les autres situations périlleuses. Des tendances, des prédispositions, peut-être d'origine génétique, ne sont pas à exclure, ce qui expliquerait l'inégalité des réactions devant les mêmes aliments : chez un couple se nourrissant pareillement il est assez fréquent que l'homme reste mince, tandis que la femme devient ou reste replète, la situation inverse était moins fréquente. Peut-être pourrait-on penser que le plus simple et efficace serait de jeûner, mais les carences qui en découlent suscitent un besoin bien plus important d'aliments dans la période lui succédant, si bien qu'il en résulte souvent une prise de poids supérieures à ce qui a été perdu par ce moyen. que de méthodes proposées dont, le plus souvent, le seul résultat obtenu est l'accentuation des carences. Sna rien envisager de miraculeux, un fait demeure, c'est que, dans les milieux où l'ont vit, s'alimente et s'entretient selon les conceptions ainsi préconisées, il est assez peu fréquent de rencontrer des personnes réellement trop corpulentes, et cela, sans qu'il doit question de réelles restrictions alimentaires. |
En vente au Centre : |
Non |
Maigrir sans carences : Dérèglements glandulaires [texte imprimé] / Raymond Dextreit, Auteur . - Paris [France] : Revue "Vivre en harmonie", 1988 . - 105 p. ; 15.5 cm. ISSN : 2-7155-022X Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
Catégories : |
Promotion de la santé:Hygiène
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Mots-clés : |
surpoids - amaigrissement - obèse - carences - dérèglement glandulaires - |
Index. décimale : |
123.4 Jeûnes, cures et régimes |
Résumé : |
Constatant que presque la moitié des Américains et le tiers des Français sont considérés comme étant d'un poids excédent sensiblement ce qui est à la normale, on peut s'étonner que ce que toutes méthode susceptible de provoquer l'amaigrissement connaisse de tels succès. Pourtant, il a été assez souvent répété que dans les camps de concentration il n'y avait pas d'obèses et qu'il suffirait de réduire les quantités de nourriture pour perdre du poids. Seulement, voilé, l'alimentation étant généralement mal conçue, il faut dépasser les quantités normales pour ne pas présenter de carences. Lesquelles carences, d'ailleurs, peuvent également survenir en raison des perturbations engendrées par le surcroît de produits ingérés. L'époque n'est plus où l'on disait que mieux vaut faire envie que pitié pour autant qu'il est maintenant admis c'est tout de même et déjà une évolution heureuse que l'excédent de poids entraine divers désagréments pas seulement d'ordre esthétique, mais bien plus sérieux, ceci pouvant déboucher sur l'infarctus, le diabète et les autres situations périlleuses. Des tendances, des prédispositions, peut-être d'origine génétique, ne sont pas à exclure, ce qui expliquerait l'inégalité des réactions devant les mêmes aliments : chez un couple se nourrissant pareillement il est assez fréquent que l'homme reste mince, tandis que la femme devient ou reste replète, la situation inverse était moins fréquente. Peut-être pourrait-on penser que le plus simple et efficace serait de jeûner, mais les carences qui en découlent suscitent un besoin bien plus important d'aliments dans la période lui succédant, si bien qu'il en résulte souvent une prise de poids supérieures à ce qui a été perdu par ce moyen. que de méthodes proposées dont, le plus souvent, le seul résultat obtenu est l'accentuation des carences. Sna rien envisager de miraculeux, un fait demeure, c'est que, dans les milieux où l'ont vit, s'alimente et s'entretient selon les conceptions ainsi préconisées, il est assez peu fréquent de rencontrer des personnes réellement trop corpulentes, et cela, sans qu'il doit question de réelles restrictions alimentaires. |
En vente au Centre : |
Non |
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